🎆 Place De La Fraternité La Courneuve
PROGRAMMEDE LA JOURNEE DU 5 JUILLET 2008 13h00 Accueil du public 13h30 Projection et débat 14h45 Hymne national (chanté par des jeunes) 15h00 Discours d’ouverture 15h30 Wadaha 16h00 Biyaya 16h30 Mbiou, avec l’AFSIM (Association des Femmes Solidaires l’Ile de Skyrock.com. Connecte-toi; Crée ton blog; Chercher. Blog; Profil; VIVENT
Leconcours prêté par la Mairie et l’intercommunalité «Plaine Commune» PCF à cette répression, ainsi que le silence du reste de la gauche sont inquiétants. Nous demandons l’hébergement et le relogement de toutes les personnes qui vivaient place de la fraternité, à la Courneuve.
Informationsde Place de la Fraternité Route à Grand Est. Place de la Fraternité, 51350 Cormontreuil, France. Obtenir un itinéraire. Fuseau horaire: Europe/Brussels Latitude: 49° 12' 54.3758" N Longitude: 4° 03' 3.1835" E
67 Place Georges Braque 93120 La Courneuve. Temps de louange et de partage pour se préparer à vivre un Noël Joyeux et Heureux . Vendredi 17 décembre 2021 de 19h à 20h30. Eglise Saint Lucien - 7 rue de la Convention 93120 La Courneuve. Au programme : Louange, intercessions, enseignement du Père Alain sur la fraternité Pour venir : Tram 1 (Arrêt Hôtel de
Le7 novembre 2011 à 9h15 du matin, la place de la Fraternité à La Courneuve (93) a été bouclé par des centaines de gendarmes. L'objet de cette manœuvre militaire, l'exécution d'un jugement du Tribunal Administratif ordonnant, à la demande de la Mairie PCF de La Courneuve, l'expulsion d'une trentaine de familles ivoiriennes qui occupaient la place
DécouvrezLe Parc d'attractions littéraires du Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis. Place De La Fraternité à La Courneuve. Du Monday, July 18, 2022 au Monday, July 18, 2022 - A 10h00.
Placede la Fraternité Mairie de La Courneuve - Hôtel de ville Avenue de la République 93120 La Courneuve Horaires d'ouverture : Tous les jours du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h. Fermé le samedi matin. L'entrée après 17h se fait côté Parc Jean-Moulin. Pôle administratif Mécano 58 av. Gabriel-Péri/3 mail de l'égalité
Samedi14 mai à Houdremont et sur la place de la Fraternité, à partir de 16h. En savoir plus sur Place au cirque/2; Les enfants c'est moi. Famille. Jeune public. Théâtre. Histoire d’amour. C’est l’histoire d’une femme clown qui n’a pas tout à fait quitté l’enfance et devient mère pour la première fois. Elle va vite se laisser dépasser par l’arrivée de cet enfant dont
LACOURNEUVE (Seine-Saint-Denis) - Des dizaines de familles expulsées il y un an de la barre Balzac au coeur de la cité des 4.000 à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) campent depuis avril sous
Hws4Bv. Place de la FraternitĂ©, Ă La Courneuve, 10 heures du matin. Les femmes se mettent Ă la cuisine sur des rĂ©chauds de camping, pendant que les hommes discutent, un peu plus loin. © RĂ©mi Ochlik En plein cĹ“ur de la citĂ© des 4 000, aux portes de Paris, 80 familles de travailleurs squattent la rue depuis le mois d'avril. [Alors que nous publions ce reportage sur le site, ces familles sont en cours d'Ă©vacuation, comme l'a ordonnĂ© le tribunal administratif de Montreuil, mercredi dernier] Autour de la vieille table en bois rĂ©cupĂ©rĂ©e, Adama, Sendou et Djouladje parlent d’une voix qui monte progressivement dans les aigus, avec un dĂ©bit rapide, musical, rocailleux. Ils usent d’un français Ă eux, Ă la fois vĂ©loce et un peu cassĂ©. Il est 11 heures et tous ont travaillĂ© la nuit dernière, comme vigile, livreur ou homme de mĂ©nage. Les femmes, ce matin discrètes et peu bavardes, Ă©coutent, amusĂ©es, tandis que les gamins, sourires Ă©dentĂ©s, chahutent avec leurs jouets cassĂ©s. Le soleil automnal nous rĂ©chauffe, l’air est n’est pas encore le moment de dĂ©jeuner, mais dĂ©jĂ les mains plongent dans les boĂ®tes en plastique qui servent de plats, grappillant du bout des doigts des morceaux d’omelette et de bananes plantains ÂgrillĂ©es. On mange avec les mains, Âexpliquent les hommes, car lorsqu’elles se touchent, on renforce nos liens d’amitiĂ©. » Mais on nous avertit Toujours avec la droite. La gauche, c’est pour s’essuyer les fesses ! » La bande s’esclaffe, le rire se rĂ©pand. Ici, assure Adama, on partage tout. La nourriture, les corvĂ©es, les soucis, mais aussi la bonne humeur ! » La place de la FraternitĂ© oĂą ces Africains bivouaquent clandestinement depuis six mois, porte bien son nom. La suite après cette publicitĂ© Le 18 avril dernier, Adama et les autres, en tout quatre-vingt-sept homÂmes et femmes, pour la plupart ivoiriens, se sont installĂ©s dans un campement de fortune au cĹ“ur de la citĂ© des 4 000 Ă La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. Un quartier difficile, majoritairement constituĂ© de logements sociaux, lourd de misère humaine, gangrenĂ© par le trafic de drogue. Une trentaine de tentes ont Ă©tĂ© plantĂ©es devant le Centre municipal de la santĂ©. L’histoire remonte Ă l’étĂ© 2010 dĂ©but juillet, la tour Balzac est Ă©vacuĂ©e puis dĂ©molie. Cent quatre-vingt-six personnes se retrouvent sans domicile et s’entassent alors dans des hĂ´tels de marchands de sommeil. Pendant neuf mois, l’Etat dĂ©pense presque 2 000 euros par mois et par famille. La suite après cette publicitĂ© On est salariĂ©s, on paie des impĂ´ts, on veut une adresse»Une solution coĂ»teuse et Ă©phĂ©mère en avril 2011, une trentaine de personnes – selon la mairie – sont relogĂ©es, les autres retournent Ă la rue. Le squat recommence. Djeneba, l’un des cinq dĂ©lĂ©guĂ©s du camp, affirme On n’a pas eu le choix. » Tous gardent le drame Ă distance. Tous ont espoir de voir la situation changer. Car la plupart travaillent. Adama soutient On ne rĂ©clame pas la charitĂ©, on ne souhaite pas ĂŞtre Ă la charge de la France, on veut participer. On est salariĂ©s, on paie des impĂ´ts, on veut juste une adresse. » Ni la mairie, submergĂ©e par les demandes, ni la prĂ©fecture, qui en est responsable, n’a trouvĂ© de solution. A Neuilly, le problème aurait Ă©tĂ© rĂ©glĂ© en deux jours, lâche ÂNabiha Rezkalla, adjointe Ă la mairie et habitante du quartier. A La Courneuve, on a 58 % de logements sociaux. On aimerait les aider, mais on ne peut plus. Il y a des centaines de gens qui attendent depuis des annĂ©es. » Elle reprend Il faudrait rĂ©cupĂ©rer l’argent des amendes des villes qui n’ont pas les 20 % de logements sociaux obligatoires. On en ferait bon usage ! Maintenant, c’est Ă l’Etat de prendre ses responsabilitĂ©s. Nous, on est impuissants. »Vendredi, 5 h 40 du matin. BagatĂ©, 42 ans, s’habille dans sa tente encombrĂ©e par ses affaires, son sac de couchage, ses couvertures. Son corps mince et long est pliĂ© en deux. BagatĂ© vit seule, son compagnon l’a quittĂ©e lorsqu’elle s’est retrouvĂ©e sans toit. Après une nuit de mauvais sommeil, elle a des petits yeux, un peu rouges. On dort mal, les gens parlent très tard le soir, c’est difficile de s’endormir avec le brouhaha », explique-t-elle de sa voix douce, presque inaudible. Derrière elle, sa voisine prie. Elle se prosterne sur le tapis en louant le nom d’Allah dans un souffle saccadĂ©. Il fait nuit noire. BagatĂ© se dĂ©barbouille avec une lingette, prend son sac Ă main en Âsimili cuir et enfile sa veste couleur crème. Elle est femme de mĂ©nage et Âcumule trois boulots deux le matin, un le soir, seul moyen de survivre. La suite après cette publicitĂ© La suite après cette publicitĂ© Elle quitte le camp endormi. Une dizaine de personnes sont dĂ©jĂ parties avec le premier RER B de 5 h 15. BagatĂ© prend celui de 6 h 11. Direction Denfert-ÂRochereau, puis deux changements dans le mĂ©tro. Une heure de voyage tous les matins pour arriver dans le XVe arrondissement de la capitale. Sur ce long trajet, elle nous dit qu’elle ne dort pas dans les transports et qu’elle s’imaginait une autre vie en France, un quotidien moins dur ». Son regard est rĂŞveur ; ses sourires, rares. Elle nous parle de sa fille restĂ©e en CĂ´te d’Ivoire, oĂą BagatĂ© travaillait dans le commerce. Elle s’appelle Rakoa, continue la maman. Son père n’a pas voulu qu’elle m’accompagne. Cela fait neuf ans que je ne l’ai pas vue. Elle a 20 ans aujourd’hui. » Puis On communique. Je reçois des photos, des lettres, je l’ai au tĂ©lĂ©phone aussi. Un jour, j’y retournerai. Je l’espère. » Il y a sept mois, BagatĂ© a Ă©tĂ© rĂ©gularisĂ©e, un soulagement. Pour la première fois, elle semble heureuse J’attendais ce moment depuis mon arrivĂ©e en France le 10 avril 2002. » Entre deux stations, elle nous raconte ses projets Ma demande de formation dans la restauration a Ă©tĂ© acceptĂ©e. » Reste Ă trouver un logement. Sans, c’est trop difficile, je ne me sens pas capable. »Dans le camp, Ă notre retour, vers 9 h 30, presque tout le monde est levĂ©. BagatĂ© croise Aboubakar, leur porte-parole, un grand bonhomme, des Ă©paules larges et un visage dur taillĂ© Ă la serpe. Il part travailler. Lui aussi rĂ©gularisĂ©, il est cuisinier dans un grand restaurant des Champs-ElysĂ©es. C’est lui qui gère les relations avec les associations, l’ambassade, la prĂ©fecture. Il craint l’hiver et les tempĂ©ratures nĂ©gatives. Les enfants ne rĂ©sisteront pas », dit-il. Une odeur piquante de la cuisine aux Ă©pices et Ă l’huile de palme se rĂ©pand. Les rĂ©chauds de camping servent de cuisinière. Dans les marmites, des ragoĂ»ts avec des queues de bĹ“uf, des tĂŞtes de poissons, du riz et de la purĂ©e. A cĂ´tĂ©, d’anciens pots de peinture servent de rĂ©serves d’eau, utiles pour cuisiner et se coquette pour oublier que l'on dort dehors»A notre passage, deux femmes, des bandeaux dans les cheveux, se redressent avec un sourire en coin, hochent la tĂŞte et recommencent Ă frotter, avec leurs mains fines et ridĂ©es, des vĂŞtements gorgĂ©s de lessive. Massou, en boubou couleur moutarde, court se doucher au centre de Protection maternelle infantile PMI. Massandje, 26 ans, la talonne. Dans sa trousse de toilette un gel douche fruitĂ©, une Ă©ponge rose et une petite serviette orange. Le minimum pour la toilette. Derrière, une habitante se maquille dans l’ombre, assise en tailleur devant sa tente ouverte. Du mascara sur les yeux, une touche de blush et du gloss. Rester coquette est important pour oublier que l’on dort Âdehors », nous dira Massandje, assistante dans une sociĂ©tĂ© Ă Paris. Ses ongles sont parfaitement manucurĂ©s. Elle porte de grosses boucles d’oreilles argentĂ©es. On doit ĂŞtre propre pour le travail mais aussi pour le moral, poursuit-elle. On ne sait pas quand on va partir d’ici. Si on se laisse aller, c’est terminĂ©. » Elle confiera vouloir un enfant, mais pas dans ces la place, ÂKhaladji vient de terminer sa nuit de travail il est livreur. Assis sur le banc Ă l’ombre, le tĂ©lĂ©phone dans une main, il prend une cigarette de l’autre, l’allume, puis recrache la fumĂ©e sur le cĂ´tĂ© avant d’aller se coucher. Devant lui, les chiens des vigiles, attachĂ©s aux arbres, aboient. Nahoua n’y prĂŞte pas attention, elle coupe ses Ă©pis crĂ©pus avec un couteau de cuisine. Dimanche, elle ira se faire des longues tresses. Ibrahim, son fils, tout juste 13 mois, renverse son lait sur le sol en bĂ©ton qui colle aux semelles. Trois rats viennent lĂ©cher la flaque. En face, devant une tente qui fait office de mosquĂ©e, Djouladje joue au maĂ®tre d’école avec Adja, 12 ans, en cinquième, et lui fait rĂ©viser l’accord du participe passĂ©. Avant d’apprendre les mathĂ©matiques, tu dois maĂ®triser parfaitement le français », lui squatteur Âbalaie les dĂ©chets et les feuilles. Une des corvĂ©es quotidiennes. Autour, les Âpassants restent mĂ©dusĂ©s du spectacle de ce village africain. Parfois attristĂ©s. Souvent excĂ©dĂ©s par les nuisances et les conditions sanitaires dĂ©sastreuses. Jamais insensibles. InstallĂ© sous un arbre, sur les bancs en bois, un groupe d’hommes Ă©voque le bled », la CĂ´te d’Ivoire, la politique, Sarkozy, la circoncision, l’excision. Et l’amour. Djouladje, la trentaine passĂ©e, cherche une femme, une Ă©pouse dont il serait fou amoureux ». Car l’amour, il en est persuadĂ©, c’est d’abord par le regard. Ensuite, c’est avec les mots. » Il a une silhouette longiligne, de longues mains. Un visage anguleux, des yeux rieurs et de grandes oreilles. Il porte une veste de costume anthracite Ă©paisse et chaude, un jean brut et des sandales usĂ©es. Ses amis le taquinent, l’appelle François Mitterrand ».Djouladje sourit, il regrette que la France ait oubliĂ© l’élĂ©gance du costume ». Je lui dis qu’il est romantique, fleur bleue. Djouladje sourit encore. Il rĂ©pond avec une ÂsincĂ©ritĂ© touchante J’essaie de faire bonne figure. Mais quelle femme voudrait d’un homme qui vit sous une tente, qui n’a pas de quoi se laver tous les jours, qui n’a pas de toilettes, qui n’a pas de vie digne ? Aucune. On peut rĂŞver, mais la rĂ©alitĂ© nous rattrape je ne suis pas fiable, je vis dans un camp dans des conditions dĂ©sastreuses et humiliantes. Personne ne peut tomber amoureux d’un homme comme moi. Quand on me voit ici, on ne peut que me refuser. » ÂSilence. D’un ton lĂ©ger, Sendou plaisante Dieu a dĂ©jĂ signĂ© pour notre logement. Il ne reste plus que la signature de Sarkozy. » Les Âsourires reviennent. L’espoir de changer de vie aussi. © Quelle que soit la tempĂ©rature, pour Nahoua, 30 ans, le savonnage est obligatoire. Photo RĂ©mi Ochlik
Première visite ? Le moteur de recherche vous permet de naviguer dans la base de données en cherchant une personne, un spectacle, une structure ou une œuvre. Vous pouvez aussi commencer par un spectacle choisi au hasard… Abasia …ou avec l’un des 10 derniers spectacles HérozéroMarie TudorVent divinLes FenêtresL'Entrée dans le jardinLa Belle AventureMusée haut, musée basAlbert Camus – ExtraitsHymnes en jeuxL'Infini moins un Lettre d'information Si vous avez envie de connaître les nouveautés de la semaine les annonces de nos partenaires et adhérents, l'éphéméride, les nouvelles créations, l'agenda de votre région..., inscrivez-vous à notre lettre d'information. E-mail Nom Ne pas remplir
Des médiateurrices en santé du Département et de ses associations partenaires* seront présentes dans des quartiers de Seine-Saint-Denis pour rencontrer les habitantes et parler de ces rencontres est de permettre aux habitantes de poser toutes leurs questions sur la santé prévention, dépistage, droits de santé, soins... en créant un espace de discussion ouvert et bienveillant."Je n’ai pas de couverture santé", "Je ne sais pas vers quel médecin me tourner", "Je suis inquietète pour ma santé", "Je ne sais pas comment aborder la maladie d’un proche ?", "J’aimerais réaliser un test mais je ne sais pas vers quelle structure me tourner", voici des questions que peuvent se poser les habitantes. Les médiateurrices y répondront directement ou orienteront vers les meilleures ressources de proximité. *ADSF, Afrique Avenir, Aides, Arcat, Avenir Santé, Bamesso et ses amis, le Comité des familles, Femmes relais de Bobigny, Ikambéré, La Marmite, l’œuvre de Falret, Coallia Jeudi 29 juin de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 06 juillet de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, La Marmite, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 12 juillet de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, AIDES, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 13 juillet de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 20 juillet de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, Arcat, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 26 juillet de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, Afrique Avenir, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 24 août de 14h30 à 17h30, ADSF, CD 93, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 31 août de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, La Marmite, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 06 septembre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, AIDES, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 07 septembre de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 14 septembre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, Arcat, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 20 septembre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, Afrique Avenir, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 21 septembre de 14h30 à 17h30, ADSF, CD 93, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 28 septembre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, La Marmite, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 04 octobre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, AIDES, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mardi 05 octobre de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 12 octobre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, Arcat, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 18 octobre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, Afrique Avenir, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 19 octobre de 14h30 à 17h30, ADSF, CD 93, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 26 octobre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, La Marmite, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mercredi 02 novembre de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Jeudi 03 novembre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, AIDES, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 09 novembre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, Arcat, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 15 novembre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, Afrique Avenir, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 16 novembre de 14h30 à 17h30, ADSF, CD 93, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 23 novembre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, La Marmite, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve Mardi 29 novembre de 9h30 à 12h30, Femmes Relais, AIDES, 35 rue de Vienne, Marché de l’Abreuvoir, Bobigny Mercredi 30 novembre de 14h30 à 17h30, ADSF, Comité des Familles, 8 allée du Rouaillier, Clichy-sous-Bois Mercredi 07 décembre de 14h30 à 17h30, Avenir Santé, Arcat, Place de la Fraternité, 2 avenue du Général Leclerc, La Courneuve
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